Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 3 ans
Une rencontre BDSM originale
« Si tu devais me donner une partie de ton corps ? »
« Ma bouche, pour vous sucer dès votre réveil, être toujours là à la moindre érection du Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »
Le début :
Depuis que j’ai quitté ma vallée, plus de travail, la faillite de mon entreprise et mon divorce avec Lysiane après cette terrible fausse couche, j’ai atterri dans une petite ville très sympa. Il me faut reconnaître qu’avec la fausse couche de Lysiane, je ne m’étais guère montré à la hauteur, submergé par la douleur peut-être et mon évident manque de tact aussi y est pour beaucoup. Ici, dans mon quartier, la solidarité n’est pas un vain mot galvaudé, elle existe. Je connais chacun des habitants de mon quartier, c’est un peu comme dans ma vallée, chacun connaît tout le monde. C’est peut-être pour cela que je m’y plais autant. Tout près, s’il le faut, il y a même l’hôpital. Je suis toujours menuisier-charpentier. Je me prénomme toujours Alain et, à vrai dire, je ne m’en plains pas, c’est un prénom comme un autre. Quoique, depuis mon arrivée, je ne l’entends plus beaucoup. En effet, ici, on me surnomme affectueusement Yul, à cause de mon crâne comme une boule de billard. C’est en référence à l’acteur Yul Brynner. Voilà, quelques précisions pour vous situer. Maintenant, à savoir si cela à de l’importance ou pas, à vous de voir.
Si, il y encore quelque chose qui est important. Depuis quelques mois, cinq ou six, pas de plus, une jeune femme de 24 ans s’est installée dans l’appartement de quatre pièces en face de ma porte. Elle est arrivée avec deux petits, un garçon d’un peu plus de 2 ans et une petite, mignonne comme tout, d’une quinzaine de mois. Son arrivée, avec ses e n f a n t s, coïncide avec le départ de son compagnon avec une autre. Cette femme ne ressemble à aucune de mes deux épouses. Petite, elle ne dépasse que de peu le mètre cinquante. Elle possède une longue chevelure qui, pour un peu, nous empêcherait de voir sa belle croupe. À la voir, on ne dirait pas qu’elle a e n f a n t é par deux fois. Sa silhouette est magnifique, ni maigre, ni ronde, elle possède un je ne sais quoi qui m’attire chez elle, un charme qui me dévore les tripes depuis son arrivée. Cependant, après mes deux expériences désastreuses, je n’ai pas le goût à me remettre en ménage une troisièmes fois. Et puis, très vite, elle s’est mise au diapason du quartier, de notre petite ville. Non, elle me plait, elle m’attire sans que je ne puisse réellement dire pourquoi.
Le véritable début de notre histoire commence par un accident qui aurait pu virer au drame quand son fils de deux ans se blesse en se renversant une pleine casserole d’eau chaude. J’ai entendu le cri du gamin et celui de cette mère soudainement paniquée. J’ai presque défoncé sa porte du coup. Comme ancien pompier volontaire, j’ai vite compris et fais ce qu’il fallait sous une douche fraîche avant de l’emporter à la clinique dans mes bras. Elle est à peine à quelque mètre de chez moi. Clarisse, la mère, arriva peu après, encore paniquée, avec sa petite dernière dans les bras. Ce ne fut pas grave, l’eau était certes chaude, mais pas bouillante au point de brûler le petit plus gravement. Le petit bonhomme ne fut brûlé qu’au premier degré et encore, très légèrement, comme un bon coup de soleil. Après quelques tubes de pommade et un antidouleur, il peut rentrer chez lui. Il y a un détail que j’oublie. En pénétrant chez ma voisine, elle était entièrement nue sortant de sa salle de bain et le corps encore mouillé. Je crois même l’avoir bousculée pour rafraîchir l’e n f a n t . Sur le moment, je n’ai pas percuté, il y avait une priorité autrement plus urgente.
Clarisse m’invite à un verre chez elle. En retirant son manteau, je vois qu’elle était réellement sortie nue avec juste une serviette de bain encore humide à la main. Gênée, elle m’avoue être sortie de la douche en catastrophe au moment de l’incident. J’allais m’asseoir quand, faisant un geste pour prendre une bière dans son réfrigérateur, sa serviette décide de se faire la malle. J’eus le réflexe de me baisser prestement pour la lui ramasser et la remettre sur autour de son corps quand Clarisse se retourne brusquement. Nous avons tous deux rougit alors que je l’entoure de sa serviette et la noue sous son aisselle à la manière d’un paréo. On reste ainsi un moment avant qu’elle ne pose ma bière et m’enlace tendrement pour tout aussi tendrement m’embrasser. S’il n’y avait pas eu les e n f a n t s, ce baiser aurait très vite dégénéré, aucun doute là-dessus.
Dans le salon, la petite, dans son parc, joue, le plus grand étendu sur le canapé, est calme, certainement très fatigué par son accident et l’antidouleur. On but ce verre face à face sur le balcon. Elle a enfilé une robe légère entre temps. Je reste encore, sur sa demande insistante et mon envie de rester près d’elle était forte. Je soupe même avec eux. Quand elle met ses petits au lit, je l’aide pour les soins de son fils. Là encore, en me redressant, je me retrouve devant son visage. Un petit bisou sur le bout de son nez, elle prend par la ma main après avoir couché son fils. Dans le salon, elle me pousse sur le canapé avant de laisser glisser sa robe le long de son corps.
« Je ne vous ai pas encore remercié comme il se doit face à un héros, mon héros ! » Qu’elle me dit.
Son corps, très soigné et glabre, se couche sur moi, son visage sur mon bas ventre. Elle remonte mon tee-shirt et commence à embrasser mon ventre. Cela dégénère vite, ma ceinture est ouverte en moins de deux, mon pénis déjà dans sa bouche peu après. Nul doute qu’elle souffre d’un manque évident de sexe. Nous faisons l’amour une grande partie de la nuit. En me parlant, jamais elle ne me tutoie. Le vous est déférent, presque humble. Et ce n’est pas Alain qu’elle me disait, mais du Monsieur sur un ton bienveillant. J’ai beau avoir insisté pour Alain et le tutoiement, mais il n’y eut rien à faire. Enfin, je l’emporte dans son lit. Il me semble comprendre le pourquoi du vous et du monsieur en voyant ce splendide martinet fait main suspendu au-dessus de sa table de nuit.
En voulant me lever au matin, Clarisse se précipite pour me faire une fellation. Sa croupe bien relevée, sur le lit. Je ne sais pourquoi, voyant ce magnifique martinet qui pendouille, je lui administre un bonne claque de ma main sur ses fesses si joliment dodues. Elle continue à me sucer sans ne rien faire pour m’interdire de fesser sa croupe savoureuse. Je lui claque encore ses jolies fesses, elle pousse un doux gémissement de bonheur. La suivante fut plus forte encore, sa croupe remua. Ma main entre ses fesses, je poussais sur son anus. Elle ne fit rien encore pour me refuser ce dont j’avais envie. Elle ouvrit même le premier tiroir de sa table de nuit. Il y avait un tube de lubrifiant. Ce ne fut pas long avant que mon sexe soit bien au fond de son anus. Elle creusa ses reins en redressant son dos, appuyant ses frêles épaules contre ma poitrine. Tout en la sodomisant, je pouvais masser sa généreuse poitrine légèrement lourde mais, si terriblement ferme.
« Monsieur Alain, aimez-vous les femmes particulièrement dociles ? » Me demande-t-elle.
« Je n’en ai connue qu'une avant toi ! »
« Je peux être encore bien plus docile, si Monsieur Alain l’exige. » qu’elle ajoute « Vous pourriez vous montrer plus exigeant avec moi, faire ce que bon vous semble. C’est une manière de vous remercier et puis…. » Elle hésite un moment, un très long moment. « J’aime ça, être dominée de la tête aux pieds. J’aime me sentir prise en main, privée de toute liberté. »
Devant de tels aveux, l’envie de connaître ses limites se fait jour dans ma tête. L’idée est si excitante que j’en jouis sauvagement dans le fond son cul. Je comprends vite quand elle me disait être docile et aimer le sexe brutal, sauvage. Elle se dégage de moi pour venir sucer mon chibre bien souillé de son cul. Il n’y a pas à dire, elle commence à me plaire énormément et de plus en plus. Pendant qu’elle me suce encore, je me suis mis à lui pincer ses seins, les étirer même, voir les tordre, mais sans exagérer. Son regard plonge dans le mien, il brille comme des millions d’étoile. Je jouis sur son visage, quand elle m’achève de ses douces mains, sa bouche grande ouverte, je lui en mis partout.
Et puis, il y a eu des pleurs. Elle enfile rapidement son peignoir, moi, mon pantalon et mon tee-shirt, oubliant mon slip au passage. Elle lève ses petits, je m’éclipse en lui faisant un signe de la main. Dans mon appartement, après une bonne douche, je n’ai pu résister à l'idée me branler en pensant fortement à cette femme si étrange, mais si aimante. Oh, si je vivais seul, il y avait bien une raison. Non pas que je sois un grand timide, loin sans faut, si un peu quand même. Mais c’est plus par goût de la solitude après le décès de ma première femme et ma séparation d'avec la seconde. Et mais surtout à cause d’une tante particulièrement détestable, surtout qu’elle a mon âge, la plus jeune sœur de mon père. Enfin, vous apprendrez à la connaître plus tard.
Je suis sorti faire mon petit tour du samedi dans le quartier, boire mon café et éplucher les journaux. En rentrant, je la vois qui sort du petit magasin. Elle m’attend en me souriant, tenant son fils par la main, la poussette de la petite dernière dans l’autre. Le petit bonhomme me reconnaît. Il vient me sauter au cou, m’embrassant de partout, le garnement. Le visage d’Clarisse est illuminé de bonheur. Je l’aide à rentrer, sous la poussette, ses courses et c’était plus que plein. Je tiens son fils par la main qu’il m’a donnée. Je commence à me faire à l’idée d’être un jour père, du coup.
« Si tu veux faire plus de commission, tu me demandes, j’ai un grand break. On peut y mettre facilement ta poussette et pas mal de chose encore »
« C’est très gentil à vous, Monsieur Alain. Si j’ose, pourrions-nous nous rendre au centre commercial, cette après-midi, je dois prendre des couches pour ma fille et elles sont en promotion. » Elle ne devait pas avoir grand-chose pour vivre à l’en croire.
Il était à peine dix heures du matin, deux heures plus tard, nous étions dans ce centre commercial, à l’entrée de la ville. Cela tombe bien, j’ai à y faire, une bricole à acheter, rien de plus. Pendant qu'elle fait ses courses, j'embarque son bout de choux, un garçon très calme et très attachant. Très vite, entre ce gosse et moi, le courant passe merveilleusement bien. Il est heureux comme tout quand je le mets sur une de ces petites attractions qu’on trouve dans ces centres commerciaux. Il l'est doublement quand je lui passe une belle peluche de dinosaure dans cet automate avec une petite grue. Clarisse nous rejoint, me tendant un petit sac noir avec la consigne de ne l’ouvrir que chez moi. Elle rougissait en me le tendant. On prend encore un verre et on rentre droit après. Son fils joue joyeusement à l’arrière avec sa nouvelle peluche.
« Merci pour lui. »
« Pas de quoi, il est adorable. Et puis, c’est la première fois qu’un gosse m’appelle tendrement Alain en m’embrassant. Tu as là un gosse absolument génial. »
« Dommage que son père ne soit pas aussi attentionné que vous, Monsieur ! » Sa tristesse pouvait si lire dans ses yeux. Je pose ma main sur la sienne. Elle croise ses doigts avec les miens, serrant fortement, une petite larme à l’œil.
Dans mon appartement, j’ouvre ce sac et quelle n'est pas ma surprise en découvrant une paire de menotte avec une petite badine de cuir rouge. Il y a aussi un petite mot griffonné à la va-vite. En gros, un mot qui m'apprend que je ne dois jamais hésiter à m’en servir sur elle à chaque fois que j’en aurai envie. L’idée est diablement tentante d’aller la menotter sur le champ et lui faire connaître le goût de sa badine.
Le lendemain, bref coup de sonnette. J’ouvre, personne, juste un sachet de papier sentant bon les croissants tièdes. Trois beaux croissants au beurre salé dans ce sac, ceux que je préfère, un déjeuner de roi en somme. Un mot encore, cette fois nettement plus explicite : « De la part de votre désormais dévouée et docile soumise. » L’écriture est, cette fois, particulièrement appliquée et le doute n’est plus permis.
Bien après l’heure du dîner, je suis allé sonner chez elle. M’ouvrant la porte, elle baisse son regard. Je lui propose une balade avec ses petits, dans le bois voisin. J’ajoute qu’il me serait très agréable qu’elle ne porte rien de plus qu’une simple robe. Je la vois rougir en remuant sa tête affirmativement en se mordillant nerveusement ses lèvres. Une demi-heure plus tard, nous marchons en direction de ce bois.
« T’es-tu déjà promenée nue sous tes vêtements ? »
« Non, Monsieur, jamais, mais j’aime ça, soyez en certain ! »
« Moi aussi, c’est plus facile pour aimer un femme telle que toi ! »
« Désormais, je ne mettrai plus de culotte pour vous être agréable, Monsieur ! Ainsi, Monsieur Alain pourra baiser sa petite pute quand il le souhaitera. »
On se fixa, le garçon jouait, un peu plus loin devant nous, tel un preux chevalier avec un bâton en guise d’épée à occire quelques méchants dragons. J’en profite pour embrasser sa mère tendrement en glissant mes mains sous sa robe. Elle est délicieuse en se laissant faire. Sa chair est douce et fraîche au touché et je bande comme un âne en rut. Elle mouille en abondance ce qui me procure un plaisir sans limite. Elle me donne la preuve qu’elle aime ce qu’elle subit. Je lui fais lécher mes doigts, elle le fait avec une dévotion qui me fit définitivement fondre en prenant ma main dans les siennes. Je prends la direction d’une cabane de chasse que je connais bien. Plus nous avançons, plus je défais les boutons de sa robe.
Bien plus docile que je ne me l’imagine, elle m’offre des perspectives de vie des plus intéressantes. Je profite de sa docilité pour la questionner sans qu’elle ne puisse me mentir. J’ai coupé une branche de noisetier pour agacer ses cuisses. Elle ne me ment pas, et j’ose croire que le mensonge ne fait pas partie de son mode de vie. Aussi, j'apprends le la cause de son divorce. Son vieux ne la touchait plus, buvait un peu trop en fin de semaine et la trompait outrageusement avec une de leurs voisines. S’il avait su quelle femme il avait auprès de lui, ce gros con, enfin... En fait, son besoin de se sentir obligée lui est venue après l’accouchement de sa fille, une envie de ne plus s’appartenir, d’être asservie, dominée, réduite à l’état d’objet sexuel. Elle n’est même pas capable de me dire d’où lui venait ce profond désir soumission. J’ai la ferme intention de lui donner satisfaction et pas plus tard que dans la cabane de chasse.
Devant la cabane, son fils montre des signes évidents de fatigues. J’ouvre la cabane, installe ce petit gars dans un lit, sa sœur juste à côté. Je fais du café. Pour elle, je lui réserve un tabouret, la positionnant à genou dessus et nue, les mains sur sa tête. Elle se plie à toutes mes demandes sans aucune objection, un délice.
« Tu aimes ? »
« Beaucoup Monsieur ! »
« Tu en veux plus ? »
« Tout ce que Monsieur voudra m’imposer, j’aimerais, Monsieur peut en être certain ! »
« Je crois que je suis amoureux de la femme la plus extraordinaire qui soi. »
« Alors, sachez que nos sentiments nous unissent désormais, Monsieur Alain. »
Je lui donne à boire son café en massant son corps merveilleux. Parfois, je fesse tendrement son corps à l’endroit qu’il me plait de fustiger, même ses joues. Elle ne déteste pas, loin sans faut. Je la prends sans autre préliminaire, son sexe est ouvert et largement humide. Femme dévouée dont son mari n’avait pas su découvrir ses avantages. Je la fais jouir en lui disant que ce ne sera pas toujours le cas. Sa tête sur la table, elle pousse un long soupir en se mordant sa main.
On ne va pas plus loin, les petits commencent déjà à se réveiller de leur sieste. On boucle la cabane et rentrons par un autre chemin. Dans le quartier, me voyant en compagnie de cette femme, on comprend vite que je suis accro. Sur une terrasse d’un bistrot, le bonhomme se prend une petite glace, ma docile, un soda. La petite ne pouvant encore commander sa boisson, elle contente de son biberon. Le soir, chez ma voisine, je la sodomise longuement tout en fessant amoureusement sa croupe merveilleusement dodue.
Une journée de travail, ça passe vite quand on sait qu’une femme s’impatiente de ne pouvoir vous servir. Elle passe ses journées entre son appartement et le mien. Elle me fit mon ménage, ma lessive et bien plus encore. Jamais mon appartement ne fut si propre qu’avec Clarisse.
Un jour, près de huit mois plus tard, elle vint me trouver dans mon appartement, un soir, après avoir couché ses e n f a n t s. Elle se mit à genou devant mes pieds, se pencha en avant, tel un sphinx.
« Monsieur, il me plairait de vous appartenir pour toujours. »
« Mais tu es à moi ! »
« Oui, je le sais, je vis cette appartenance à chaque seconde qui passe et j’aime ça. C‘est que je vous aime pour tout vous dire. Seulement, il me manque quelque chose, ce petit quelque chose qui fera de moi votre pute encore plus docile. »
« Et c’est quoi ? »
« Des anneaux, Monsieur. Aussi, je vous demande humblement la permission de me faire annelée. »
« L’idée est bonne. Où veux-tu porter des anneaux ? »
« Sur mon sexe, sur le capuchon de mon clitoris. Il y a mes seins, un par tétons. Monsieur pourra ainsi me suspendre par ces anneaux. Enfin, S’il plait à Monsieur, à mon nez, sur ma cloison nasale, pour que Monsieur puisse me promener en laisse. »
« Je suis d’accord, mais as-tu la moindre idée du coût ? »
« Je possède quelques économies qu’il me serait facile d’utiliser pour ça, Monsieur. Et puis, je travaille le cuir de manière artisanale, cela me permet d’améliorer notre ordinaire. Mon martinet est un exemple du fruit de mon labeur. »
Je posais mon pied sous son visage, elle me le lèche, me le suce avec une dévotion qui ferait pâlir bien quelques soumis. Jamais femme ne fut plus dévouée, plus docile qu’Clarisse. Puis, elle passe à l’autre pied. Cette fois, le corps bien droit, tenant mon pied entre ses douces mains. Je fixe son visage, m’imaginant son nez annelé. Je me vois faire nos courses, le tenant en laisse, poussant son landau et tenant son fils par la main. Sauf que, ben, dans mon quartier, ma réputation d’homme bien sous tous rapports en prendrait un sérieux coup dans la poire. Je me vois alors, la promenant encore en laisse, sauf qu’elle était fixée à son sexe cadenassé ou à celui de son clitoris. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour voir ces images venues du fin fond de ma tête de pervers. Lentement, inexorablement, sa bouche remonte le long de mes jambes, passant d’une à l’autre. Je bande ferme. J’ai envie de ce corps et pourtant, si l’envie est très forte, je la laisse faire. Je dois me faire v i o l e n c e pour ne pas la retourner et la prendre comme un chien baisant sa chienne.
« Si tu devais me donner une partie de ton corps ? »
« Ma bouche, pour vous sucer dès votre réveil, être toujours là à la moindre érection du Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »
« Ce ne serait pas désagréable, en effet. »
Alors, mon imagination devint encore plus fertile en perversité. Il me sembla que je sentais cette bouche, sa langue nettoyer mon cul, mon chibre à tout instant de la journée. J’imaginais des choses peu ragoûtantes et je bandais encore plus fort. Je ne tins pas plus longtemps. Je pris sa tête de mes mains et sa bouche se posa sur ma queue. Je ne fus tranquille dans ma tête qu’au moment de jouir dans sa bouche. Elle prit alors mon verre de bière, y trempa mon auriculaire, l’effet fut immédiat, dans sa bouche, je me soulageais, elle me but jusqu’à la dernière goutte.
« J’ose espérer que mon Maître aime sa salope. Parce que sa salope l’aime quand il se montre sale avec elle. Sachez que le slip du Maître oublié chez moi me sert de bâillon quand je me fouette de mon martinet, le soir. »
« Alors vas le chercher, ton martinet. »
« Avec grand plaisir, Monsieur. Monsieur, dois-je prendre des bougies afin de me couvrir de cire brûlante ? »
J’ai accepté. Elle revient aussi vite qu’elle est partie. Elle se positionne à genou, le corps bien droit, ses bras levés vers le plafond. De son martinet, je se rougis sa poitrine, son ventre. Elle se mord ses lèvres à chaque coup. Parfois, elle ferme ses yeux, comme pour mieux sentir la brûlure des lanières. Je lui donne ma queue à sucer. Penchée en avant, je zèbre son dos avec son martinet. Plus je frappe, plus elle gémit, la bouche remplie de mon chibre. Puis d’une bougie allumée, je répands cette cire brûlante sur son dos, ses fesses et entre ses fesses. La belle remue du croupion, cela rend la chose plus bandante encore. Surtout, cela me donne l’idée de transformer une de mes trois chambres en salle de supplice.
C’était la première fois que je me montre aussi v i o l e n t avec Clarisse et elle aime ça autant que mon cœur commence sérieusement à battre pour elle. Je jouis encore, je la redresse, délaissant son martinet. Je l’embrasse tendrement.
« Outre les anneaux, je te veux entièrement à moi et y pire que tes anneaux, il y a un mariage. » Je respirais tranquillement en l’observant. Et j’enfonçais le clou. « Avec les fêtes qui arrivent. On va aller chez mes parents, avec tes e n f a n t s. Eux, on va les pourrir de cadeaux. Toi, je vais pourrir ton cul avec ma queue. J’en profiterais pour clouer le bec à ma famille en annonçant notre mariage pour l’été prochain. Tu as quelque chose à redire ? »
« Oh non, Monsieur, surtout pas, je m’en voudrais de vous contrarier, je suis à vos ordres. Il me plait déjà de ne plus appartenir à personne d’autre que vous, Maître. »
Ses mains masturbent encore ma queue. Je la couche sur le dos et m’enfonce lentement en elle, tendrement, cette fois. Oui, je ne l’ai pas baisée, je l’ai Aimée.
On a dormi ensemble, sans qu’elle ne soit entravée d’aucune manière que par mes bras. Au matin, je me lève avant elle. Je lui prépare un déjeuner digne d’une princesse. C'est la seule et unique fois que j'ai pu préparer un repas pour ma soumise.
« Monsieur, il n’est pas digne que mon Maître me fasse à manger ! » Qu’elle me reprocha.
Elle reçoit une copieuse et douloureuse fessée à la main. Je la fesse si durement qu’elle ne peut s’asseoir ailleurs que sur un moelleux coussin et encore, en faisant une vilaine grimace.
Noël arrive. Dans le break, on charge tout. Sur la route, malgré une circulation dense, on arrive sans encombre dans le village de mes origines, là, au fond de ma vallée. Mais si vous aviez vu la tête de ma mère quand elle vit Clarisse, j’ai bien cru qu’elle allait nous faire une crise cardiaque. Ce n'est pas mieux pour mon père. En fait, j’avais averti que je venais, sans préciser que je ne serai pas seul. Mais la surprise vient de petit bonhomme. Il embrasse ma mère en l’appelant mamie et mon père, papi. Pour eux, avoir des petits e n f a n t s était un rêve que je comblais enfin.
Le soir du réveillon, après la messe de minuit, tradition oblige, on se retrouve tous dans la grange pour le repas de noël. Une montagne de cadeau pour les gosses. Deux sont particulièrement gâtés, ceux de mon Clarisse. Enfin, au moment des cafés, je fais l’annonce de notre mariage en août prochain. Je ne vous dis pas les têtes parmi ma famille.
Ensuite, pour laisser digérer la nouvelle de mon mariage, nous nous permettons une promenade après avoir mis les petits au lit. En chemin, profitant que nous soyons seuls, je lui mets sa laisse à l’anneau de son nez. Au détour d’un chalet, une jeune femme se tient debout devant nous.
« Pardonnez-moi mon intrusion dans votre promenade, mon cousin. J’avais donc vu juste, mon cousin, c’est une soumise, ta future. Elle est très belle en tout cas. » La voix de ma cousine était emprunte d’un profond respect.
« Ouais, et alors ? » Cela m’a fâché d'avoir été suivi
« Elle est annelée entièrement ou juste son nez ? » Curieuse la cousine
« Mais qu’est-ce que cela peut te faire ? »
« Non, moi je dis ça parce que…ben je suis aussi annelée. Vous voulez voir ? » Elle change totalement pour se montrer encore plus humble
« Seulement si tu es une de ces salopes qui se la jouent soumise ! » Je peinais à la croire
Elle relava sa jupe, dévoilant ses bas, son porte-jarretelle et son entrecuisse glabre et orné de trois jolis anneaux cadenassés entre eux. Je reste impassible, caressant la nuque d’Clarisse. Devant mon manque de réaction, elle nous dévoile sa poitrine posée un soutien à balconnet. Deux beaux anneaux les décoraient, reliés par une belle chaînette en argent.
« Mouais, ok, et ? » Dis-je, jouant les blasés.
Elle est vexée de me voir si distant. Il y a une vieille barrière en bois. Je pose la laisse sur l’un des piquets et m’approche de ma cousine. Sans lui laisser le temps de me cacher son corps, je lui a t t r a p e la chaînette et l’attire contre moi. Mes mains sur ses épaules, je la f o r c e à s’agenouiller sur la neige dure.
« C’est qui ton Maître ? À moins que cela ne soit une Maîtresse, te connaissant. ! » Que je lui demandais avec une certaine impatience.
« C’est une Maîtresse que Monsieur connaît très bien »
« De la famille ? » Demandais-je.
« Oui, Monsieur, de la famille, une tante ! »
« Quoi, Isabelle, cette gamine puérile ? » Là, j’étais réellement énervé, voir en colère, mais plus contre ma cousine, contre ma garce de tante.
« Une bien sévère Maîtresse, Monsieur » précisa ma cousine Karine.
« Une peau de vache pour cette petite dinde. Alors, mon neveu, on me voit comme une gamine puérile ? » Me lance ma tante, elle a mon âge à quelques mois près.
« En fait, je te voyais pire encore, comme une gosse pourrie par son père. Je te vois toujours comme celle qui nous a pourri nos vacances par ses caprices d’e n f a n t gâtée. »
« Et cette jeune chienne, elle est à toi depuis quand ? »
« Qu’est-ce que ça peut te foutre, ça ne te regarde pas. Tu comptes me la prendre comme tu piquais les petits amis de mes cousines ? Cousine, là, tu me déçois beaucoup ! »
« Elle est magnifique et très docile. Ma pute devrait en prendre de la graine. Ça fait six mois que je la dresse. Tu sais qu’elle crèche chez moi, elle veut devenir vétérinaire en plus. »
Décidément, ma tante à bien changé. Si elle est toujours aussi hautaine, avec manière de parler de la haute. La voilà en plus vulgaire, utilisant des mots crus quand elle parle de ma cousine.
« Non seulement elle est magnifique, elle est une soumise particulièrement docile et qui sait parler sans être vulgaire comme toi. Pour la cousine, tu devrais lui apprendre à ne pas interrompre un dominant durant sa promenade sans se présenter et s’excuser. » Je devins autoritaire avec ma tante. « Il en faudrait peu pour que je vous fesse toutes les deux comme des malpropres. Surtout toi, ma tante. Tu ne sais même pas éduquer une soumise. C’est vrai que pourrie comme tu l’es par grand-père, l’oisiveté ne t’aide pas ! Et puis, pour dominer une personne, il ne faut pas seulement agiter des liasses de gros billets, c’est dans la tête et le corps que ça se passe. Mais pour ça, ma très chère tante, encore faut-il en avoir une et avec une cervelle, ce qui est très loin d’être ton cas. Pour moi, tu n’es rien de plus que ramassis de méchanceté, de jalousie. Viens Clarisse, on y va. »
Elle ne sut que répondre. Je pris la laisse de ma douce compagne et continue notre promenade en sa compagnie sans me retourner. Derrière moi, le bruit d’une paire de gifle ne me fait même pas tourner la tête. Isabelle, la jolie tantine, doit être terriblement vexée de me voir si impassible. Elle nous rejoint, traînant ma cousine Karine derrière elle. Je m’arrêtais net quand elle me parla de faire une partie de jambes en l’air, tous les deux.
« Déjà, je ne parle pas à des femmes qui se la pètent, qui se prennent pour une autre. Secundo, une femme qui domine n’a pas à se comporter comme une pute, c’est juste qu’elle manque de caractère. Tu imites les autres, tu n’es pas toi quand tu gifles ta nièce, ma cousine. En fait, je la verrai bien de punir et te dominer. » Je pris mon temps pour voir sa réaction. Et, comme à mon habitude, j’enfonçais le clou. « Tu vois, avec elle, je n’ai pas cherché, elle ne m’a pas cherché, on s’est juste trouvé à cause de ce petit accident domestique. Par contre, pour toi, je suppose que le simple fait de l’abriter chez toi pendant qu’elle étudie fait de toi sa Maîtresse ? Mouais, à voir ta gueule de pute, j’ai vu juste. Karine, si tu te cherches une autre Maîtresse digne de ce nom, ou une Maître, ce n’est pas avec une soumise comme ta tante que tu vas trouver ton bonheur, bonne nuit et joyeux noël ! »
On est rentré se coucher. Dans mon lit, je presse le corps d’Clarisse contre moi. Elle replie ses jambes, mon pénis s’insinue entre ses cuisses, bien en profondeur.
Au matin, Clarisse aide ma mère pour le déjeuner des e n f a n t s. La petite me vit et nous cria : « Papa ! » en me montrant du doigt. Je reste interdit, ne sachant comment prendre cela. Enfin, revenu de ma surprise, je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. Ma mère ne trouve rien de mieux que de pleurer, mais de joie. Je suis aussi ému qu’elle, mais pas autant que la maman de ce petit garçon adorable. Du coup, je suis allé prendre la fille de ma compagne. Je la lève, la change et l’habille en jouant avec elle, sous les regards d’Clarisse et de ma mère encore plus émue.
On reste encore pour le nouvel an, qu’on fête en famille, toute la famille. Je peux en profiter pour me moquer à pleine brouette de ma tante, la rabrouer, la rabaisser et, sans le vouloir, ni même remarquer de l’inversion des rôles. Avant de partir, je me suis rendu, avec Clarisse, dans ce petit cimetière aux croix identiques. Je me dirige vers une tombe très précise, celle d’une certaine Véronika. Je fais un trou dans la neige pour y mettre une photo de nous deux avec une bougie.
« Ma belle, tu vois, je ne t’ai pas oubliée. Je te présente Clarisse, ma future et ses deux bambins. Si tu peux, par un signe ou comme tu le voudras, dis-moi si elle te plait. Perso, si tu me vois de là-haut, tu sais que je suis fou d’elle comme de ses e n f a n t s. »
« C’est d’elle que tu rêves la nuit ? »
« Véronika est celle par qui j’ai appris mon travail et faire l’amour. Mais, je te raconterais notre vie à tous les deux. Après elle et avant toi, il y eu encore une jeune femme que j’ai formée et aimer. Et puis, j’ai quitté la vallée. La menuiserie n’arrivait plus à tourner face à une concurrence moins chère. Mouais, c’est bien vieux tout ça. »
La petite commence à devenir bavarde au fur et à mesure qu’elle apprend à parler. Aussi, je fais ce qu’il faut pour que le père les prenne deux semaines avec lui. J’oblige Clarisse à prendre aussi deux semaines en même temps que moi. Un oncle possède un chalet, je lui avais demandé la permission pour deux semaines, un lieu loin de toute civilisation, idéale pour repousser les limites de ma soumise. Le courrier en poste restante, on est parti.
Dans ce chalet, c'est Byzance. Nous vivons nu, prêt à faire l’amour à tout instant et on ne s’en prive pas. Elle se montre encore plus soumise, plus docile quand j’éprouve le besoin de la dominer. Parfois, c'est elle qui me cherche, qu'elle désire une bonne fessée. Pour baiser, tous les endroits autour de ce chalet s’y prêtent. Je peux enfin profiter de ma Clarisse. Je crois, qu’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais passé des vacances aussi merveilleuses. Et surtout pas gâchée par cette garce de tante.
C’est le jour, le dernier jour des vacances, Clarisse a tout nettoyé dans le chalet, le rendant encore plus propre qu’à notre arrivée. En plaine, il nous faut aller reprendre les e n f a n t s. Alors que je mets le dernier sac dans le coffre, elle arrive dans une mignonne petite robe comme je les affectionne sur son corps. Elle s’ouvre sur le devant. Devant moi, elle me tend la courte laisse que je m’empresse de fixer à son nez. Assise sur le siège passager, elle ouvre sa robe, me dévoilant son merveilleux corps. Je me penche, baise ses seins avant d’entamer la route du retour.
Un peu avant d’arriver dans la plaine, j’ai une envie folle de baiser ma compagne. Un envie qui me fait souffrir. Sur un petit chemin, je stoppe la voiture hors de vue de la route. Je sors Clarisse à l’aide de la laisse. D’instinct, elle place ses bras croisés dans son dos. Près de moi, sur le capot de la voiture, je la prends sans perdre de temps. Elle est chaude, bouillonnante de désirs ma toute belle. Je lui en donne pour son argent jusqu’à ce qu’elle jouisse et m’entraîne dans son orgasme. Peu après, devant moi, elle s’accroupit en me fixant pour soulager sa vessie bruyamment sur le gravier du chemin.
J’avoue que de la voir uriner me redonne une folle envie. Mon sexe dans sa bouche, elle me pompe goulûment en même temps qu’elle se soulage. Sur mes chaussures, mes chevilles, je sens les gouttes de son urine s’étendre au fur et à mesure. Je jouis très vite, bien trop vite à mon goût. Pourtant, Clarisse se régale de mon sperme, se la jouant vorace. Puis, c’est sur mes chaussures qu’elle a léché avec soin, elle remonte même sur mes chevilles avant de se mettre à genou, ses mains derrière la nuque, sa tâche accomplie. Je la relève, referme sa robe en l’embrassant. Et nous remontons en voiture.
Devant l’immeuble du père des e n f a n t s d’Clarisse, il ne faut guère de temps avant que le garçon n’arrive et me saute dans les bras en m’appelant papa. Clarisse arrive avec la petite dans les bras qui me pointe de sa petite main. Je lui fais un gros câlin avant de l’installer sur son siège, près de son frère. Direction la maison, en chemin, nous nous arrêtons manger un glace près d’un petit parc d’attraction. Le garçon, avec sa mère s’offrent quelques tours de manège pendant que je joue les papas poules.
Une fois à la maison, je m’impose chez Clarisse en posant un sac rempli de mes vêtements. Le sourire d’Clarisse fait plaisir à quand elle me prend mon sac pour le mettre dans sa chambre. Quant aux gosses, je ne vous dis pas, ils m’ont fait la fête. Le soir même, après avoir couché les e n f a n t s, nous étions dans notre lit à baiser comme des fous. Nous avons fini par éteindre la lumière, nous nous sentions épiés par les voyeurs que vous êtes.
Fin
charime
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